Un peu d'histoire... troisième partie*
- Alexandre Sophrologie
- 5 janv.
- 1 min de lecture

De 1988 à nos jours : la sophrologie se développe.
En 1988, Alfonso Caycedo choisit de s’installer en Andorre afin de continuer à développer la sophrologie selon une optique philosophique, voire spirituelle. Il dépose alors la marque « sophrologie caycédienne » et crée plus tard 8 degrés supplémentaires.
Cette décision va segmenter la sophrologie en deux grands courants de la sophrologie d’aujourd’hui :
La sophrologie caycédienne à objectif philosophique, voire spirituelle (degrés 5 à 12)
La sophrologie non-caycédienne à objectif thérapeutique (degrés 1 à 4)
Nota : il est important de préciser qu’il s’agit ici d’une description de la sophrologie comme méthode. Les sophrologues caycédiens peuvent également exercer dans un objectif thérapeutique.
Qu’elle soit utilisée de manière philosophique ou thérapeutique, la Sophrologie se propage et se découvre sans cesse de nouvelles utilisations.
L’efficacité de ses techniques se vérifie dans des champs d’application aussi variés que la gestion du stress et des émotions, la préparation mentale d’événements (accouchement, compétition), l’accompagnement aux traitements médicaux, la gestion des phobies, des addictions ou de la douleur, l’amélioration de la concentration.
La sophrologie est utilisée par des sophrologues, mais aussi des médecins, des travailleurs sociaux, des infirmières, des responsables du personnel, des entraîneurs, des coachs, des enseignants…
Elle se pratique partout, en cabinet, en salle de sport, en salon de bien-être, en entreprise, à l’hôpital, à l’école…
La Sophrologie a aujourd’hui 50 ans, son efficacité est reconnue et elle est rentrée dans le quotidien de nombreuses personnes.
*texte issu du site de la Chambre Syndicale de la Sophrologie










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